mercredi 3 janvier 1996, par frisco
« Autant le précédent Roma Amor jouait sur l’homogénéité, la force athlétique de douze black guerriers, machos, autant celui-ci joue sur l’hétérogénéité, l’humour, la sauvagerie rigolote, la décontraction et sur la multiplicité des variations gestuelles de danseurs aptes aux prouesses techniques mais surtout virtuoses par le style ».
J.J. Samary- Libération Juin 1988